
Actualités
-
Le cancer, première cause de décès en France - 17/08/2016
-
AVC, arrêter de fumer pour diminuer les risques - 16/08/2016
-
Smoking kids, les photographies dérangeantes .... - 14/08/2016
-
Grossesse, l’arrêt du tabac coûte que coûte... - 13/08/2016
-
Le tabagisme, révélateur des conditions de travail - 12/08/2016
-
Ecigarette : découverte de deux agents cancérogènes - 03/08/2016
-
La Chicha, pas vraiment anodin - 08/06/2016
-
L’industrie ne veut pas des paquets neutres ... - 05/06/2016
-
EURO 2016 : Pas de tabac, ni de e-cigarette - 03/06/2016
-
Grossesse et trouble du comportement TDHA - 02/06/2016
-
Fumer n’est jamais sans risque - 30/05/2016
0 ...
345
|
360
|
375
|
390
|
405
|
420
|
435
|
450
|
465
... 3525
New York en guerre contre les cendriers ! 
En Ventre de Une du Figaro, Guy Baret se penche sur l’« impitoyable traque aux fumeurs outre-Atlantique ». Considérant qu’à New York le cendrier fait partie des « armes par destination » et qu’il « est traqué car il tue », le chroniqueur évoque « les Elliot Ness de la nicotine (qui) effectuent des descentes dans les entreprises pour éradiquer le mal » car « la simple exposition d’un cendrier est un délit ».
Observant que selon la réglementation ces objets « ne doivent pas être utilisés » ni même « mis à disposition » où il est interdit de fumer, c’est-à-dire partout » le journaliste souligne que toute infraction coûte « la rondelette somme de 2000 dollars ». Et de faire état des personnalités sanctionnées pour possession de cendriers, même de collection, avec cette précision que « Elliot Marcus l’incorruptible de la santé publique » a admis qu’un « cendrier décoratif rempli de trombones ne ferait pas l’objet de poursuites ».
Guy Baret qui indique que les bars de New York ont perdu 30% de leur clientèle, assure que « certains tenanciers » procèdent même à des fouilles de clients pour être sûr que « le produit qui nuit gravement à leur commerce ne pénétrera pas dans leur établissement ».
Conclusion sur les armes, pour lesquelles en revanche « rien n’a changé », puisque « la loi autorise toujours le citoyen à conserver un pistolet chargé dans son bureau ». Et cette chute : « Où cela va-t-il s’arrêter ? » sachant que chacun est « un délinquant potentiel puisqu’il a sur lui de quoi commettre un attentat à la pudeur ».