- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
Campagne choc - 07/10/2011
-
Les femmes fument moins pendant la grossesse - 07/10/2011
-
La BPCO touche 3,5 millions de français. - 28/09/2011
-
Le tabac nuirait davantage aux femmes - 28/09/2011
-
L’Etat fait un joli cadeau aux buralistes - 27/09/2011
-
La mairie de Paris à la chasse aux Mégots - 23/09/2011
-
Problèmes de vessies plus fréquent chez les fumeuses - 23/09/2011
-
Arrêter de fumer améliorerait la personnalité - 22/09/2011
0 ...
735
|
750
|
765
|
780
|
795
|
810
|
825
|
840
|
855
... 3525
Les détenus privés de sevrage ?
Au courrier des lecteurs de Libération la lettre d’un détenu incarcéré à la prison de la Santé qui dit que la hausse des prix du tabac est « presque un soulagement » et qu’il a décidé d’arrêter de fumer.
Mais, dit il aussi, « le seul problème c’est qu’ici on privilégie des psychotropes, des neuroleptiques et autres Subutex, prescrits sans modération aux détenus qui deviennent par la suite des morts vivants ambulants » alors que toute demande de « substitution nicotinique est systématiquement rejetée ». Il affirme dépenser 25 euros par semaine en cigarettes et vouloir consacrer cet argent à l’achat de patchs.
Réponse du médecin « Sachez qu’ici on ne vend pas de patchs » et le lecteur détenu de préciser « en revanche on peut acheter jusqu’à deux cartouches par semaine ». Regrettant que de ce fait ses deux codétenus non fumeurs « inhalent la fumée en permanence dans une cellule de 9 m2 », il revendique « Moi aussi, je suis victime du tabac. J’estime que j’ai le droit de bénéficier d’un traitement de substitution ».