- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
Les fumeurs trouveraient moins facilement du travail - 13/04/2016
-
Les terrains de sports à New York libres du tabac ! - 12/04/2016
-
Le tabagisme modifierait l’adn du foetus - 07/04/2016
-
Fumer bouleverse les bactéries de la bouche - 07/04/2016
-
Le tour du Monde des fumeurs (infographie) - 04/04/2016
-
Les étudiants consomment moins d’alcool et de tabac - 14/03/2016
-
Pas de renouvellement d’accord avec l’industrie - 10/03/2016
-
Tabagisme résiduel : un danger à long terme - 08/03/2016
-
Tabac et cinéma : les liaisons dangereuses - 03/03/2016
0 ...
375
|
390
|
405
|
420
|
435
|
450
|
465
|
480
|
495
... 3525
Les détenus privés de sevrage ?
Au courrier des lecteurs de Libération la lettre d’un détenu incarcéré à la prison de la Santé qui dit que la hausse des prix du tabac est « presque un soulagement » et qu’il a décidé d’arrêter de fumer.
Mais, dit il aussi, « le seul problème c’est qu’ici on privilégie des psychotropes, des neuroleptiques et autres Subutex, prescrits sans modération aux détenus qui deviennent par la suite des morts vivants ambulants » alors que toute demande de « substitution nicotinique est systématiquement rejetée ». Il affirme dépenser 25 euros par semaine en cigarettes et vouloir consacrer cet argent à l’achat de patchs.
Réponse du médecin « Sachez qu’ici on ne vend pas de patchs » et le lecteur détenu de préciser « en revanche on peut acheter jusqu’à deux cartouches par semaine ». Regrettant que de ce fait ses deux codétenus non fumeurs « inhalent la fumée en permanence dans une cellule de 9 m2 », il revendique « Moi aussi, je suis victime du tabac. J’estime que j’ai le droit de bénéficier d’un traitement de substitution ».