- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
« Tout est bon pour arreter de fumer » - 17/02/2004
-
« Expertise collective de l’Inserm » - 17/02/2004
-
« Les mystères de la dépendance » - 16/02/2004
-
1,8 million d’ex-fumeurs - 16/02/2004
-
Les brèves du jour... - 16/02/2004
-
Le Zyban l’emporte haut la main - 16/02/2004
-
Altadis et ses salariés - 13/02/2004
-
Ce qui rend accro - 13/02/2004
-
Un test urinaire pour évaluer le tabagisme passif - 12/02/2004
-
Le Parlement ne respecte pas la loi anti-tabac - 12/02/2004
-
Expertise collective de l’Inserm - 12/02/2004
-
Interdiction du tabac dans les lieux collectifs - 10/02/2004
-
Recensement des livres sur le tabac - 10/02/2004
-
Cancérologues et lutte contre le tabagisme en Europe - 10/02/2004
0 ...
2595
|
2610
|
2625
|
2640
|
2655
|
2670
|
2685
|
2700
|
2715
... 3525
Les détenus privés de sevrage ?
Au courrier des lecteurs de Libération la lettre d’un détenu incarcéré à la prison de la Santé qui dit que la hausse des prix du tabac est « presque un soulagement » et qu’il a décidé d’arrêter de fumer.
Mais, dit il aussi, « le seul problème c’est qu’ici on privilégie des psychotropes, des neuroleptiques et autres Subutex, prescrits sans modération aux détenus qui deviennent par la suite des morts vivants ambulants » alors que toute demande de « substitution nicotinique est systématiquement rejetée ». Il affirme dépenser 25 euros par semaine en cigarettes et vouloir consacrer cet argent à l’achat de patchs.
Réponse du médecin « Sachez qu’ici on ne vend pas de patchs » et le lecteur détenu de préciser « en revanche on peut acheter jusqu’à deux cartouches par semaine ». Regrettant que de ce fait ses deux codétenus non fumeurs « inhalent la fumée en permanence dans une cellule de 9 m2 », il revendique « Moi aussi, je suis victime du tabac. J’estime que j’ai le droit de bénéficier d’un traitement de substitution ».