- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
le coût social du tabac en question - 11/01/2006
-
Dépistage précoce du cancer du poumon - 09/01/2006
-
L’UMP intoxiquée par le lobby du tabac - 09/01/2006
-
Les Fumeurs sont plus bêtes - 09/01/2006
-
En Espagne , travailler ou fumer, il faut choisir - 06/01/2006
-
Chocolats noir et fumeurs - 06/01/2006
-
la Grèce entre en guerre contre les fumeurs - 04/01/2006
-
Retour sur la loi antitabac espagnole - 03/01/2006
-
Suisse : la vente de tabac interdite aux mineurs - 02/01/2006
-
Panorama de presse sur l’interdiction espagnole - 02/01/2006
-
chasse le tabac des lieux publics - 02/01/2006
-
Sevrage : les femmes arrêtent plus difficilement - 02/01/2006
0 ...
1875
|
1890
|
1905
|
1920
|
1935
|
1950
|
1965
|
1980
|
1995
... 3525
Les détenus privés de sevrage ?
Au courrier des lecteurs de Libération la lettre d’un détenu incarcéré à la prison de la Santé qui dit que la hausse des prix du tabac est « presque un soulagement » et qu’il a décidé d’arrêter de fumer.
Mais, dit il aussi, « le seul problème c’est qu’ici on privilégie des psychotropes, des neuroleptiques et autres Subutex, prescrits sans modération aux détenus qui deviennent par la suite des morts vivants ambulants » alors que toute demande de « substitution nicotinique est systématiquement rejetée ». Il affirme dépenser 25 euros par semaine en cigarettes et vouloir consacrer cet argent à l’achat de patchs.
Réponse du médecin « Sachez qu’ici on ne vend pas de patchs » et le lecteur détenu de préciser « en revanche on peut acheter jusqu’à deux cartouches par semaine ». Regrettant que de ce fait ses deux codétenus non fumeurs « inhalent la fumée en permanence dans une cellule de 9 m2 », il revendique « Moi aussi, je suis victime du tabac. J’estime que j’ai le droit de bénéficier d’un traitement de substitution ».