Actualités
-
44 % des étudiants sont prêts à arrêter de fumer - 21/10/2016
-
Faites signer l’appel des 100 000 - 14/10/2016
-
smokittent le jeu pour arrêter de fumer - 14/10/2016
-
Mois sans tabac : un kit à disposition - 11/10/2016
-
Les philippines veulent en finir avec le tabac - 10/10/2016
-
Deux cancers sur cinq sont évitables - 30/09/2016
-
Les adolescents fument et boivent moins - 22/09/2016
-
les buralistes craignent une nouvelle hausse de prix - 18/09/2016
-
Tableau de bord de l’OFDT en ligne - 07/09/2016
-
Les espaces de jeux pour enfants sont sans tabac - 24/08/2016
-
Tabac : lancement d’une grande enquête - 23/08/2016
-
Etre payé pour arrêter de fumer .... - 20/08/2016
0 ...
330
|
345
|
360
|
375
|
390
|
405
|
420
|
435
|
450
... 3525
Les cardiologues font appel aux généralistes
La prévention est l’outil principal pour lutter contre les maladies cardiovasculaires" : c’est le message que ce congrès a transmis aux quelque 400 cardiologues et chercheurs conviés eux-mêmes à relayer l’information auprès des corps médical et para-médical.
Le rôle de ces derniers « reste déterminant dans l’éducation aux règles de santé et d’hygiène », selon le professeur Daniel Thomas, président de la FFC. Ainsi, si les médecins généralistes prenaient le temps d’informer leurs patients fumeurs des risques qu’ils encourent, ils doubleraient le taux de sevrage spontané, soit 400.000 personnes au lieu de 200.000 chaque année.
Ce congrès a aussi mis en avant l’intérêt d’un traitement global, et non plus isolé, des divers facteurs de risques cardiovasculaires : tabac, hypertension, cholestérol, diabète, obésité et sédentarité.
Cette approche générale est non seulement nécessaire à la prévention des maladies cardiovasculaires - qui se traduit par une amélioration globale de l’hygiène de vie - mais elle permet également de réaliser une estimation beaucoup plus fiable des risques encourus par les patients.
« Avec près de 180.000 décès par an, les maladies cardiovasculaires représentent aujourd’hui la première cause de mortalité en France (34%) », insiste le professeur Thomas.
La FFC rappelle notamment qu’en cas d’accident cardio-respiratoire, chaque minute compte. Aujourd’hui, seuls 6 % des Français connaissent les premiers gestes de secours. Si toute la population était formée - formation de trois heures offerte par la FFC -, 20 à 25% des accidentés seraient sauvés.