- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
Actualités
-
Campagne télévisée Help - 27/05/2005
-
Les américains fument moins - 27/05/2005
-
Chronique de l’écrivain Patrick besson - 26/05/2005
-
Le téléphone fait un tabac - 26/05/2005
-
Bulletin européen hebdomadaire du CNCT - 26/05/2005
-
Jeune et tabac : « Je m’ennuie donc je fume » - 20/05/2005
-
Le sevrage des femmes enceintes - 19/05/2005
-
Tabac et fécondation in vitro - 19/05/2005
-
Test d’un vaccin anti-nicotine - 17/05/2005
0 ...
2145
|
2160
|
2175
|
2190
|
2205
|
2220
|
2235
|
2250
|
2265
... 3525
Les buralistes se mobilisent
L’AFP, France Soir, la Tribune et le Parisien signalent que les buralistes des départements frontaliers ont manifesté hier sur des péages d’autoroute près des frontières espagnole, belge et luxembourgeoise pour protester contre les achats de cigarette de l’autre côté des frontières qui, selon eux, ont fait chuter leurs ventes de 25 à 45%.
L’AFP rapporte qu’ils ont mené en groupe des opérations « péages gratuits », distribué des tracts ou conduit des « opérations escargot »à l’appel de la Confédération nationale des débitants de tabac. Précisant qu’ils demandent la mise en place par l’Etat d’un dispositif de contrôle des quantités transportés sur le territoire national et l’harmonisation des taxes sur le tabac au sein de l’UE, l’agence rend compte des opérations menées en Haute Garonne, dans le Nord – Pas – de - Calais et à la frontière Luxembourgeoise.
D’après France Soir « les buralistes français mettent le feu aux frontières »). Sous le titre « les buralistes manifestent aux frontières » le Parisien publie les photos des manifestations. (reprise de l’AFP dans les deux jourbnaux ). La Tribune souligne pour sa part que « les buralistes frontaliers manifestent leur colère » et que le Contrat d’avenir signé il y a six mois avec l’Etat « paraît insuffisant pour régler les problèmes ».