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44 % des étudiants sont prêts à arrêter de fumer - 21/10/2016
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Faites signer l’appel des 100 000 - 14/10/2016
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smokittent le jeu pour arrêter de fumer - 14/10/2016
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Mois sans tabac : un kit à disposition - 11/10/2016
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Les philippines veulent en finir avec le tabac - 10/10/2016
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Deux cancers sur cinq sont évitables - 30/09/2016
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Les adolescents fument et boivent moins - 22/09/2016
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les buralistes craignent une nouvelle hausse de prix - 18/09/2016
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Tableau de bord de l’OFDT en ligne - 07/09/2016
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Les espaces de jeux pour enfants sont sans tabac - 24/08/2016
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Tabac : lancement d’une grande enquête - 23/08/2016
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Etre payé pour arrêter de fumer .... - 20/08/2016
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Les Hopitaux américains refusent de recruter des fumeurs
Les Echos reviennent sur un nouveau phénomène américain : « De plus en plus d’hôpitaux américains refusent de recruter les fumeurs, jugés trop coûteux en terme de soins et d’absentéisme. »
Après avoir interdit la fumée dans les lieux publics et certains espaces découverts, les hôpitaux américains s’intéressent à leurs personnels.
Il n’y a aujourd’hui pas encore de statistiques fiables, mais les établissements n’embauchant pas de fumeurs semblent de plus en plus nombreux.
« Depuis 2005, l’air que respirent nos salariés est sans la moindre fumée. Il n’y en a ni à l’intérieur, ni à l’extérieur de l’établissement », raconte John Bluford, le président de Truman Medical Centers, précurseur en la matière. En 2006, son établissement est passé à l’étape suivante : « Nous n’embauchons plus les fumeurs pour montrer le sérieux de nos engagements, poursuit-il. Nous voulons améliorer la santé de notre communauté, encourager un mode de vie plus sain, minimiser les effets dévastateurs du tabac et amoindrir les coûts associés aux fumeurs. »
Selon le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), un fumeur coûte à la société 3.391dollars en productivité perdue par an. « Le fumeur a besoin de davantage de soins, s’absente du travail plus souvent et son haleine est « désagréable », tant pour les malades que pour les visiteurs » explique John Bufford
Source : Les Echos Lire l’article complet sur le site de échos