Actualités
-
Les cigarettiers Canadiens se rebellent... - 28/11/2003
-
Les buralistes, suite... - 27/11/2003
-
Travailler sans tabac - 26/11/2003
-
Les femmes victimes du tabac en 2015... - 26/11/2003
-
Enquête de « l’Internaute » - 26/11/2003
-
Les buralistes dans la rue. - 26/11/2003
-
La hausse moins élevée que prévue... - 26/11/2003
-
Procès de la centrale nucléaire de Cruas - 24/11/2003
-
Manifestation des buralistes aujourd’hui... - 24/11/2003
-
Sondages - 24/11/2003
-
L’Affaire Jouanique : compte-rendu le 18 décembre - 21/11/2003
-
Journée mondiale contre la BPCO - 21/11/2003
-
Le prix des cigarettes en Europe - 21/11/2003
0 ...
2745
|
2760
|
2775
|
2790
|
2805
|
2820
|
2835
|
2850
|
2865
... 3525
Les Hopitaux américains refusent de recruter des fumeurs
Les Echos reviennent sur un nouveau phénomène américain : « De plus en plus d’hôpitaux américains refusent de recruter les fumeurs, jugés trop coûteux en terme de soins et d’absentéisme. »
Après avoir interdit la fumée dans les lieux publics et certains espaces découverts, les hôpitaux américains s’intéressent à leurs personnels.
Il n’y a aujourd’hui pas encore de statistiques fiables, mais les établissements n’embauchant pas de fumeurs semblent de plus en plus nombreux.
« Depuis 2005, l’air que respirent nos salariés est sans la moindre fumée. Il n’y en a ni à l’intérieur, ni à l’extérieur de l’établissement », raconte John Bluford, le président de Truman Medical Centers, précurseur en la matière. En 2006, son établissement est passé à l’étape suivante : « Nous n’embauchons plus les fumeurs pour montrer le sérieux de nos engagements, poursuit-il. Nous voulons améliorer la santé de notre communauté, encourager un mode de vie plus sain, minimiser les effets dévastateurs du tabac et amoindrir les coûts associés aux fumeurs. »
Selon le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), un fumeur coûte à la société 3.391dollars en productivité perdue par an. « Le fumeur a besoin de davantage de soins, s’absente du travail plus souvent et son haleine est « désagréable », tant pour les malades que pour les visiteurs » explique John Bufford
Source : Les Echos Lire l’article complet sur le site de échos