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« Tout est bon pour arreter de fumer » - 17/02/2004
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« Expertise collective de l’Inserm » - 17/02/2004
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« Les mystères de la dépendance » - 16/02/2004
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1,8 million d’ex-fumeurs - 16/02/2004
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Les brèves du jour... - 16/02/2004
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Le Zyban l’emporte haut la main - 16/02/2004
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Altadis et ses salariés - 13/02/2004
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Ce qui rend accro - 13/02/2004
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Un test urinaire pour évaluer le tabagisme passif - 12/02/2004
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Le Parlement ne respecte pas la loi anti-tabac - 12/02/2004
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Expertise collective de l’Inserm - 12/02/2004
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Interdiction du tabac dans les lieux collectifs - 10/02/2004
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Recensement des livres sur le tabac - 10/02/2004
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Cancérologues et lutte contre le tabagisme en Europe - 10/02/2004
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Les Hopitaux américains refusent de recruter des fumeurs
Les Echos reviennent sur un nouveau phénomène américain : « De plus en plus d’hôpitaux américains refusent de recruter les fumeurs, jugés trop coûteux en terme de soins et d’absentéisme. »
Après avoir interdit la fumée dans les lieux publics et certains espaces découverts, les hôpitaux américains s’intéressent à leurs personnels.
Il n’y a aujourd’hui pas encore de statistiques fiables, mais les établissements n’embauchant pas de fumeurs semblent de plus en plus nombreux.
« Depuis 2005, l’air que respirent nos salariés est sans la moindre fumée. Il n’y en a ni à l’intérieur, ni à l’extérieur de l’établissement », raconte John Bluford, le président de Truman Medical Centers, précurseur en la matière. En 2006, son établissement est passé à l’étape suivante : « Nous n’embauchons plus les fumeurs pour montrer le sérieux de nos engagements, poursuit-il. Nous voulons améliorer la santé de notre communauté, encourager un mode de vie plus sain, minimiser les effets dévastateurs du tabac et amoindrir les coûts associés aux fumeurs. »
Selon le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), un fumeur coûte à la société 3.391dollars en productivité perdue par an. « Le fumeur a besoin de davantage de soins, s’absente du travail plus souvent et son haleine est « désagréable », tant pour les malades que pour les visiteurs » explique John Bufford
Source : Les Echos Lire l’article complet sur le site de échos