Actualités
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Tabac Actualités n°51 - 27/07/2004
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Nouvelle page - 26/07/2004
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Témoignage d’un ancien buraliste - 26/07/2004
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Rapport sur les prix du tabac jugé décevant - 23/07/2004
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BAT s’installe en Chine - 21/07/2004
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Le chiffre d’affaires des buralistes n’a pas baissé - 21/07/2004
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La nicotine aide à soigner Alzheimer & Parkinson - 19/07/2004
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Cigarettes en chocolat - 15/07/2004
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Les Femmes amatrices de cigares - 15/07/2004
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Revue de presse : prix du tabac - 12/07/2004
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Lucky strike repense son packaging multifonction - 12/07/2004
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La « Gauloise » fait un tabac à l’étranger - 12/07/2004
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Phillip Moris paie 1.25 milliards de dollars - 12/07/2004
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Les Hopitaux américains refusent de recruter des fumeurs
Les Echos reviennent sur un nouveau phénomène américain : « De plus en plus d’hôpitaux américains refusent de recruter les fumeurs, jugés trop coûteux en terme de soins et d’absentéisme. »
Après avoir interdit la fumée dans les lieux publics et certains espaces découverts, les hôpitaux américains s’intéressent à leurs personnels.
Il n’y a aujourd’hui pas encore de statistiques fiables, mais les établissements n’embauchant pas de fumeurs semblent de plus en plus nombreux.
« Depuis 2005, l’air que respirent nos salariés est sans la moindre fumée. Il n’y en a ni à l’intérieur, ni à l’extérieur de l’établissement », raconte John Bluford, le président de Truman Medical Centers, précurseur en la matière. En 2006, son établissement est passé à l’étape suivante : « Nous n’embauchons plus les fumeurs pour montrer le sérieux de nos engagements, poursuit-il. Nous voulons améliorer la santé de notre communauté, encourager un mode de vie plus sain, minimiser les effets dévastateurs du tabac et amoindrir les coûts associés aux fumeurs. »
Selon le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), un fumeur coûte à la société 3.391dollars en productivité perdue par an. « Le fumeur a besoin de davantage de soins, s’absente du travail plus souvent et son haleine est « désagréable », tant pour les malades que pour les visiteurs » explique John Bufford
Source : Les Echos Lire l’article complet sur le site de échos