Actualités
-
Lutte contre le tabagisme : « le combat est gagné » - 07/07/2018
-
Faut-il interdire les ventes de tabac en Duty-free - 04/07/2018
-
Paris : 4 parcs parisiens vont devenir non fumeur - 04/07/2018
-
Interdiction de fumer dans les parcs et jardins - 28/06/2018
-
Le nombre de fumeurs décroit en France - 26/06/2018
-
Le tabagisme décroit en France - 23/06/2018
-
Seul contre tous : replay SUD RADIO - 19/06/2018
-
4 cancers sur 10 pourraient être évité - 19/06/2018
-
5 idées reçues sur la hausse des prix du tabac - 18/06/2018
-
Dès 1 cigarette par jour, le coeur est en danger - 04/06/2018
-
journée mondiale sans tabac : transformer l’essai ! - 31/05/2018
-
Le tabac perturbe gravement les hormones - 31/05/2018
0 ...
150
|
165
|
180
|
195
|
210
|
225
|
240
|
255
|
270
... 3525
Les Hopitaux américains refusent de recruter des fumeurs
Les Echos reviennent sur un nouveau phénomène américain : « De plus en plus d’hôpitaux américains refusent de recruter les fumeurs, jugés trop coûteux en terme de soins et d’absentéisme. »
Après avoir interdit la fumée dans les lieux publics et certains espaces découverts, les hôpitaux américains s’intéressent à leurs personnels.
Il n’y a aujourd’hui pas encore de statistiques fiables, mais les établissements n’embauchant pas de fumeurs semblent de plus en plus nombreux.
« Depuis 2005, l’air que respirent nos salariés est sans la moindre fumée. Il n’y en a ni à l’intérieur, ni à l’extérieur de l’établissement », raconte John Bluford, le président de Truman Medical Centers, précurseur en la matière. En 2006, son établissement est passé à l’étape suivante : « Nous n’embauchons plus les fumeurs pour montrer le sérieux de nos engagements, poursuit-il. Nous voulons améliorer la santé de notre communauté, encourager un mode de vie plus sain, minimiser les effets dévastateurs du tabac et amoindrir les coûts associés aux fumeurs. »
Selon le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), un fumeur coûte à la société 3.391dollars en productivité perdue par an. « Le fumeur a besoin de davantage de soins, s’absente du travail plus souvent et son haleine est « désagréable », tant pour les malades que pour les visiteurs » explique John Bufford
Source : Les Echos Lire l’article complet sur le site de échos