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L’adieu au tabac - 15/01/2007
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Une année sans tabac pour Adecco - 15/01/2007
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Les entreprises face au tabac - 15/01/2007
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La prohibition du tabac diminue les infarctus - 15/01/2007
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Interdiction de fumer et mode de vie - 15/01/2007
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Des restaurants disent adieu à la cigarette - 15/01/2007
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Baromètre santé - 13/01/2007
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Coup de tabac sur les cigarettiers - 12/01/2007
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Polonium et tabac - 11/01/2007
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les collèges parisiens et actions de prévention - 11/01/2007
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décret : l’état doit être irréprochable - 11/01/2007
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Le champix - 10/01/2007
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Le train pour arrêter de fumer - 10/01/2007
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asthme multiplié pour les jeunes fumeurs - 09/01/2007
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Les Hopitaux américains refusent de recruter des fumeurs
Les Echos reviennent sur un nouveau phénomène américain : « De plus en plus d’hôpitaux américains refusent de recruter les fumeurs, jugés trop coûteux en terme de soins et d’absentéisme. »
Après avoir interdit la fumée dans les lieux publics et certains espaces découverts, les hôpitaux américains s’intéressent à leurs personnels.
Il n’y a aujourd’hui pas encore de statistiques fiables, mais les établissements n’embauchant pas de fumeurs semblent de plus en plus nombreux.
« Depuis 2005, l’air que respirent nos salariés est sans la moindre fumée. Il n’y en a ni à l’intérieur, ni à l’extérieur de l’établissement », raconte John Bluford, le président de Truman Medical Centers, précurseur en la matière. En 2006, son établissement est passé à l’étape suivante : « Nous n’embauchons plus les fumeurs pour montrer le sérieux de nos engagements, poursuit-il. Nous voulons améliorer la santé de notre communauté, encourager un mode de vie plus sain, minimiser les effets dévastateurs du tabac et amoindrir les coûts associés aux fumeurs. »
Selon le Centre américain de contrôle et de prévention des maladies (CDC), un fumeur coûte à la société 3.391dollars en productivité perdue par an. « Le fumeur a besoin de davantage de soins, s’absente du travail plus souvent et son haleine est « désagréable », tant pour les malades que pour les visiteurs » explique John Bufford
Source : Les Echos Lire l’article complet sur le site de échos