Actualités
-
la BPCO touche de plus en plus de femme - 13/11/2017
-
Jeter un mégot par terre, pas si anodin - 10/11/2017
-
Tous les bénéfices à l’arrêt du tabac - 06/11/2017
-
Recyclage des mégots en planche de surf - 29/10/2017
-
Tabac : les ventes en légère baisse - 26/10/2017
-
Lancement du nouveau guide « Hôpital sans tabac » - 24/10/2017
-
Le Mois sans tabac : et si vous arrêtiez de fumer ? - 14/10/2017
-
Plus de 90% des cancers bronchiques imputés au tabac - 14/10/2017
-
17 % des femmes fument durant leur grossesse - 12/10/2017
-
Agnès Buzyn va nous sauver la vie - 11/10/2017
-
Le mois sans tabac est de retour - 09/10/2017
0 ...
225
|
240
|
255
|
270
|
285
|
300
|
315
|
330
|
345
... 3525
Le tabagisme et les jeunes
Le quotidien gratuit, 20 Minutes, daté du 6 juin, publie un article du Dr Marc Shelly ( médecin à l’hôpital Fernand Widal et fondateur de l’association Armédia). Le médecin qui fait état des « résultats alarmants » d’une enquête de l’OFDT menée auprès des élèves des lycées et collège souligne que dès 14 ans 23% des collégiens fument, dont 10% quotidiennement et qu’à 18 ans 45 % fument tous les jours. Il indique que l’association Artmédia a mené pour sa part une « action recherche exploratoire » auprès de jeunes Parisiens et Franciliens de 13 à 30 ans sur leurs motivations à commencer, continuer et arrêter de fumer. Affirmant que filles et garçons ont des « motivations différentes » lors de leur entrée dans le tabagisme, il rapporte que par ordre décroissant les filles allument une cigarette quand elles sont « soucieuses », pour « se relaxer », quand elles sont « mal à l’aise », pour « avoir une contenance en public » ou « contrôler leur appétit » alors que fumer pour « s’occuper les mains » ou lorsqu’on a « pas le moral » est une motivation des deux sexes, et que fumer « pour s’occuper quand on s’ennuie » est plus une raison masculine.
Cette étude montre aussi que le tabagisme du ou de la meilleure amie « semble jouer un rôle clef » plus important que celui du tabagisme des parents, domaine dans lequel, pour l’adolescente, le tabagisme de la mère « paraît peser plus lourd que celui du père ». « Plus rassurant » toutefois, selon le Dr Shelly, la majorité des jeunes envisage d’arrêter de fumer et seuls 20% n’en ont pas l’intention d’où son appel aux professionnels à « répéter leurs interventions auprès de ce public cible ».