Actualités
-
la BPCO touche de plus en plus de femme - 13/11/2017
-
Jeter un mégot par terre, pas si anodin - 10/11/2017
-
Tous les bénéfices à l’arrêt du tabac - 06/11/2017
-
Recyclage des mégots en planche de surf - 29/10/2017
-
Tabac : les ventes en légère baisse - 26/10/2017
-
Lancement du nouveau guide « Hôpital sans tabac » - 24/10/2017
-
Le Mois sans tabac : et si vous arrêtiez de fumer ? - 14/10/2017
-
Plus de 90% des cancers bronchiques imputés au tabac - 14/10/2017
-
17 % des femmes fument durant leur grossesse - 12/10/2017
-
Agnès Buzyn va nous sauver la vie - 11/10/2017
-
Le mois sans tabac est de retour - 09/10/2017
0 ...
225
|
240
|
255
|
270
|
285
|
300
|
315
|
330
|
345
... 3525
Le nombre d’infarctus baisse en france
Le nombre d’infarctus du myocarde et de décès d’origine coronaire a baissé de 5% à 6% par an ces dernières années en France, selon une étude diffusée mardi, qui suggère plusieurs explications pour ce recul également observé dans d’autres pays d’Europe de l’Ouest.
L’étude portant sur la période 2000 à 2007 et publiée dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), souligne la baisse de trois grands facteurs de risque - hypertension, hypercholestérolémie et tabagisme - comme explication au moins « partielle » à cette décrue des accidents coronaires graves.
Les taux d’infarctus et de décès par accident coronaire « ont baissé en moyenne de 5% chez les hommes et de 6% chez les femmes », selon l’étude portant sur des hommes et femmes de 35 à 74 ans vivant dans trois grandes villes : Toulouse (avec le reste de la Haute-Garonne) Strasbourg (avec le Bas-Rhin) et Lille.
Le nombre d’infarctus a diminué en moyenne de 19% pour les hommes et les femmes, entre les périodes 2000/2003 et 2004/2007, avec des baisses plus accentuées à Strasbourg (-22% pour les hommes et -23% pour les femmes) et Toulouse (-20% et -19%) par rapport à Lille (-15% et -14%).
L’analyse par tranches d’âge montre chez les femmes que la baisse se concentre sur les 55/64 ans (-23%) et les 65/74 ans (-25%) tandis que les taux sont identiques d’une période à l’autre pour les 35 à 54 ans, ce qui peut s’expliquer par un tabagisme encore élevé chez les femmes plus jeunes.
source AFP Lire la dépêche en complet