Le blues des fumeurs de narguilé 
L’EXPRESS se penche sur
« Le blues des fumeurs de narguilé ». Indiquant qu’il existe environ 300 à 400 bars à narguilé à Paris et qu’ils se sentent menacés par l’interdiction de fumer qui entrera en vigueur le 1er janvier 2008, l’hebdo rapporte que certains espèrent que la présidentielle « changera la donne ». Le magazine qui note que certains parviennent à survivre en diversifiant leurs activités (restauration , concerts) et que le narguilé n’est alors qu’un plus qui surfe sur l’effet de mode, estime toutefois que « la mode confine au phénomène de société » car le narguilé attire autant les jeunes que leurs aînés . D’après l’hebdo, certains ont pris les devants en achetant leurs ustensiles pour fumer dans leur salon, sachant que les risques pour la santé restent les mêmes, puisque selon l’OMS « la fumée de la chicha serait aussi dangereuse que celle de la cigarette ».