- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources
- DNF vous permet de poser vos questions en ligne et d’obtenir une réponse personnalisée dans un délai très bref.
- Vous posez une question concernant un problème lié au tabac dans un lieu déterminé et notre équipe d’experts répond à votre interrogation et/ou vous conseille sur les démarches à suivre.
Questions-réponses
-
Loi anti-tabac chez un particulier - 26/02/2008
-
tabagisme passif par compensation - 26/02/2008
-
Pause fumeurs - 25/02/2008
-
Interdiction complète de fumer dans une entreprise - 25/02/2008
-
Interdire de fumer sous un marché couvert - 25/02/2008
-
Ecoles de musique - 25/02/2008
-
Terrasses cafés - 23/02/2008
-
Enceinte en discothèque - 23/02/2008
-
Mise aux normes de notre salle fumeurs - 22/02/2008
-
Abords - 22/02/2008
-
Un chantier - 21/02/2008
-
Pour les fumeurs - 21/02/2008
-
Interdiction de fumer dans les partie communes - 21/02/2008
-
Mon patron fume dans son bureau - 21/02/2008
-
Club privée - 21/02/2008
0 ...
2865
|
2880
|
2895
|
2910
|
2925
|
2940
|
2955
|
2970
|
2985
... 5505
Voir l'ensemble des questions
La France applique-t-elle ses lois, ou pas, ou juste à moitié ?
La France applique-t-elle ses lois ou pas ou juste à moitié ?La France, c’est vous, c’est nous, ce sont ses ressortissants.
En démocratie, les lois permettent notamment de tracer des limites entre les droits des uns et ceux des autres lorsqu’ils risquent de se superposer.
Le parlement vote les lois que le pouvoir exécutif doit faire appliquer en demandant à ses agents de constater et de sanctionner les contrevenants.
Si les non-fumeurs incommodés par la fumée de leurs voisins avaient osé, dès 1992 (décret d’application de la loi Évin), exiger le respect de leurs droits inscrit dans la loi, tout serait naturellement rentré dans l’ordre et Xavier Bertrand n’aurait pas eu besoin de promulguer son décret du 15 novembre 2006.
En effet, les agents chargés de la répression des infractions ont pu, à tort, estimer que les sanctions n’étaient pas vraiment nécessaires puisque personne, ou presque, ne se plaignait des infractions à la loi Évin