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Le contrat d’avenir signé - 22/12/2003
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La reconstruction des systèmes de santé - 19/12/2003
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La clope démodée... - 19/12/2003
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Nouvelle marque de cigarettes et prix du tabac - 19/12/2003
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Le contrat d’avenir des buralistes - 19/12/2003
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La Suède contre le tabac (suite) - 19/12/2003
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Restaurants non-fumeurs en Suède - 18/12/2003
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France et contrebande - 18/12/2003
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New York et cendriers - 18/12/2003
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New York en guerre contre les cendriers ! - 17/12/2003
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« Tabac : la télé hors la loi ? » - 16/12/2003
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Le tabac au Sénat - 16/12/2003
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Le TGV Atlantique non fumeur - 15/12/2003
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L’iNPES lance une nouvelle campagne de prévention et fait le point
Le 31 mai 2011, Journée Mondiale Sans Tabac (JMST), est pour le Ministère du travail, de l’emploi et de la santé ainsi que pour l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes) l’occasion d’aborder une nouvelle fois la question du tabagisme et soutenir les Français qui le souhaitent à arrêter de fumer. Les professionnels de santé (médecins généralistes, pharmaciens, cardiologues, tabacologues…) sont souvent les premiers à recueillir le souhait des patients d’arrêter de fumer. C’est pourquoi une partie du dispositif de communication, qui vise à aider les fumeurs, ayant l’intention de s’arrêter, à franchir le pas, s’adresse directement à eux. Les médecins en première ligne pour aider les patients qui souhaitent arrêter de fumer
Selon les premiers résultats du Baromètre médecins généralistes 20091, près de 90 % des médecins généralistes considèrent que le tabagisme est un sujet facile à aborder lors d’une consultation. Une large majorité (près des deux tiers, 63,2 %) aborde la question de la consommation de tabac au moins une fois avec chacun de leurs patients. La quasi-totalité d’entre eux (94,5 %) prend en charge le sevrage tabagique le cas échéant (seuls ou en liaison avec une structure). Dans les sept jours précédant l’enquête, 68,6 % ont vu un patient pour cette raison. La part des médecins ayant vu au moins trois patients dans le cadre d’un sevrage tabagique au cours des sept derniers jours a presque doublé en dix ans. Ce type de prise en charge est le plus souvent assurée par les médecins de plus de 40 ans, ceux qui déclarent un nombre d’actes quotidiens élevés, en cabinet individuel, et par ceux qui exercent dans l’agglomération parisienne. Le recours à des outils d’aide au repérage
Plus d’un tiers des médecins (34 %) utilise en consultation des questionnaires d’aide au repérage de la consommation de tabac (ils n’étaient que 6 % en 2003). Ce sont les médecins femmes qui y ont recours le plus fréquemment (40,9 % contre 31 % des hommes), ainsi que les médecins généralistes appartenant à un réseau de tabacologie, d’alcoologie ou d’addictologie. Une campagne pour dédramatiser l’arrêt du tabac à destination des fumeurs et de leur entourage
Composée notamment d’un spot télévisé, la campagne a pour objectif d’inciter tous les fumeurs tentés par l’expérience du sevrage à passer à l’acte. Beaucoup d’appréhensions, d’idées reçues ou de mauvais conseils peuvent entourer cette étape, perçue comme « difficile ». Cette nouvelle campagne de communication entend dédramatiser l’arrêt du tabac (peur de grossir, de devoir renoncer aux sorties entre amis…), rappeler au fumeur qu’il n’est jamais seul et qu’en plus de l’aide apportée par le professionnel de santé, il peut trouver des informations et des conseils fiables grâce au dispositif Tabac Info Service (ligne téléphonique 39 89 et site internet).
source : site INPES voir le communiqué, la vidéo et le dossier de presse (aller dans l’espace presse pour découvrir le communiqué du 31 mai 2011)