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Problèmes de vessies plus fréquent chez les fumeuses - 23/09/2011
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Arrêter de fumer améliorerait la personnalité - 22/09/2011
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« Dis maman pourquoi tu fumes ? » 
« Dis maman pourquoi tu fumes ? » titre le journal Libération qui affirme que « les campagnes antitabac utilisent les enfants pour culpabiliser les parents ».
Ainsi la fille de Marie, 8 huit, qui lit « fumer tue » sur le paquet se met à pleurer et dit « maman ça veut dire que tu vas mourir ! .
Une autre mère « a pris l’habitude de retourner son paquet sur la face soft » parce que sa fille évoque son angoisse « d’être grosse de fumer et de boire » plus tard.
Une tabacologue dit « la cigarette n’a plus du tout son côté érotique et séducteur (…) maintenant ça fait deuxième zone. Ce sont les classes défavorisées(…) qui fument . Les mères fumeuses racontent la honte et la culpabilité qu’elles éprouvent et certaines « accusent l’école de les renvoyer à une clandestinité adolescente ». Elle évoquent aussi les questions de leurs enfants après des exposés sur le tabac à l’école : « La première chose qu’il m’a demandé d’un air accusateur c’est si j’avais fumé quand il était dans mon ventre. J’ai menti. Finalement il s’est rassuré tout seul « heureusement papa pourra s’occuper de moi » » car son père ne fume plus. Le quotidien qui affirme « qu’au père alcoolique fléau social des écoliers de la troisième république succède la mère clopeuse » assure qu’après l’école il y a aussi la télé avec des sujets « qui retiennent l’attention des petites filles et des petits garçons » comme l’histoire de cette mère de famille de 35 ans « jolie, mince, habillée jeune » morte d’un cancer du poumon et dont les filles sont ensuite allées en famille d’accueil. Une petite téléspectatrice interroge sa mère « c’est mieux ou c’est pire que l’orphelinat la famille d’accueil ? ».
Une médecin généraliste fumeuse et mère de famille reconnaît que c’est « une vraie réussite auprès des gosses. L’endoctrinement fonctionne à merveille ». Elle dit qu’elle ne fume plus devant eux. « Je me cache » avoue t-elle.