
Actualités
-
Tabac et mineurs suite .... - 07/07/2006
-
Les débitants de Midi Pyrenée donnent l’alarme - 04/07/2006
-
Marre de la fumée dans les bars ! - 04/07/2006
-
Un écran de fumée sur la campagne antitabac - 01/07/2006
-
La dernière cigarette du salarié - 28/06/2006
-
Barbès, « bureau de tabac en plein air » - 28/06/2006
-
Toxic Corp : Le tabac tue un fumeur sur deux - 27/06/2006
-
Loi antitabac en Espagne : l’heure du bilan - 23/06/2006
-
De plus en plus d’entreprises 100% sans tabac - 21/06/2006
-
Vente aux Mineurs - 16/06/2006
-
Calendrier Mission Parlementaire Tabac - 16/06/2006
-
l’UMP met en ligne un blog sur l’interdiction totale - 16/06/2006
-
le Biorythme des fumeurs - 16/06/2006
0 ...
1725
|
1740
|
1755
|
1770
|
1785
|
1800
|
1815
|
1830
|
1845
... 3525
Didier jayle à la tête de la mission interministérielle de lutte contre la toxicomanie 
PARIS, 23 octobre (Reuters Santé) - Didier Jayle a été nommé mercredi, en Conseil des ministres président de la Mission interministérielle à la lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) sur proposition du ministre de la Santé, Jean-François Mattei.
« C’est un homme de terrain, un homme compétent. Je crois qu’il a les capacités à donner un nouveau souffle dans l’action pour les toxicomanes », a-t-il affirmé mardi soir sur France 2.
« Le Dr Jayle est un praticien, il est à la fois psychiatre et dermatologue. Il a créé en 1986 en région Ile-de-France le centre régional d’information et de prévention du sida (CRIPS) et depuis s’est consacré au sida et à la drogue », a-t-il ajouté.
Agé de 49 ans, Didier Jayle qui succède à Nicole Maestracci en poste depuis juin 1998, a également créé en 1995 le centre de soins spécialisé aux toxicomanes (CSST) Nova Dona de Paris XIVème.
« Je pense que le côté médical doit être mis en avant parce qu’il y a là des soins à apporter à des gens qui souffrent », a affirmé le ministre rappelant son expérience d’élu à la mairie de Marseille.
Dans l’arsenal thérapeutique, il a cité « le sevrage brutal, qui réussit dans 15% des cas » et les produits de substitution « beaucoup décriés » mais dont il se déclare favorable car ils permettent de réduire le nombre de morts par overdose.
Le ministre se dit « pour le maintien de l’interdit du cannabis ». Il s’agit selon lui d’une question de santé publique, « car tout danger n’a pas été écarté », et d’une question de pédagogie. « Je suis en train de vous dire que je ne veux pas que les gens fument du tabac, je ne vais pas aller leur dire qu’ils peuvent fumer du cannabis »./yg
Source : Agence de Presse Médicale