- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources

Actualités
-
Campagnes choc sur les écrans de télévisions belges - 03/05/2004
-
Plages californiennes sans tabac - 03/05/2004
-
Plan cancer et tabac - 30/04/2004
-
Les non-fumeurs ont la côte auprès des jeunes - 30/04/2004
-
Vivre avec un fumeur tue ! - 29/04/2004
-
Les lois antitabac protègent le cœur - 29/04/2004
-
61% des suisses sont pour une hausse du tabac - 28/04/2004
-
Tabac et Cinéma - 28/04/2004
-
Les fumeurs fument, les non fumeurs trinquent - 26/04/2004
-
Belgique, le plan antitabac se concrétise - 26/04/2004
-
Le tabagisme passif retarde la cicatrisation - 23/04/2004
0 ...
2520
|
2535
|
2550
|
2565
|
2580
|
2595
|
2610
|
2625
|
2640
... 3525
Cancer du poumon : facteurs de risques et dépistages 
Les spécialistes sont unanimes, il est nécessaire qu’on mette en place un dépistage précoces du cancer du poumon. Le tabac est responsable de 80 % des cancers du poumons, la moitié des 20 % restant est imputable au tabagisme passif, le reste sont des causes diverses comme l’exposition au radon.
Les experts mettent en avant les facteurs de risques que représente la précocité de la consommation de tabac, tout comme une longue consommation. « Des études récentes ont prouvé que le facteur essentiel est la durée du tabagisme. « Fumer beaucoup pendant un court laps de temps apparaît moins risqué que fumer moins pendant de nombreuses années, même si les deux sont à bannir, ajoute le Dr Milleron. Il faut aussi savoir que l’arrêt du tabac est intéressant à tout âge. » Le fait de fumer un paquet de cigarettes par jour pendant vingt ans multiplie le risque de cancer du poumon par 20. Lorsque l’on arrête à 30 ans, le risque est multiplié par 2, à 40 ans il est multiplié par 4. Mais même un faible tabagisme entraîne un risque supérieur à celui du non-fumeur. » expliquent-ils dans le Figaro de ce jour.
Des études sont en cours pour déterminer si un suivi régulier médical et notamment par scanner peut permettre de plus grandes chances de guérisons.