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La Belgique augmente ses prix - 05/01/2004
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La guerre du tabac en Irlande - 05/01/2004
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Des sites contre le tabac - 05/01/2004
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Nouvelle hausse des prix du tabac - 05/01/2004
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Au Mexique aussi, le prix des cigarettes augmente - 30/12/2003
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Cigarettes : baisse des commandes et hausse des prix - 23/12/2003
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New York fait encore parler d’elle... - 23/12/2003
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Cancérologues et fiscalité unique en Europe - 23/12/2003
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Baisse des ventes de cigarettes - 23/12/2003
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Les fumeurs insultés par les cigarettiers - 22/12/2003
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Le CSA contre le tabac - 22/12/2003
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Les arguments de BAT - 22/12/2003
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L’Allemagne devant la Cour Européenne de justice - 22/12/2003
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Moins de 18 ans : A vos crayons ! - 22/12/2003
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« Opuscule dadaïste » - 22/12/2003
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Campagnes de prévention
L’AFP et le Parisien indiquent qu’une campagne antitabac intitulée « le tabac, j’arrête, je respire » et accompagnée de consultations et de distribution gratuite de substituts nicotiniques va être lancée dans six des huit universités parisiennes en avril.
L’AFP rapporte que les 300 000 étudiants parisiens sont incités à s’alimenter de façon plus équilibrée et à s’arrêter de fumer au cours de deux campagnes qui vont être lancées en mars et avril dans les restaurants universitaires. L’agence souligne qu’une enquête de santé effectuée en 2002 par la mutuelle étudiante Smerep montre que les étudiants franciliens sont en proportion moins nombreux à fumer qu’en population générale mais que 25 à 30% d’entre eux sont fumeurs. Selon la directrice du service interuniversitaire de médecine préventive de Paris, dans les universités parisiennes « l’application de la loi Evin (…) n’est effective qu’ à Paris 2 (Assas) et Paris 9 (Dauphine) où il y a des vigiles » même si « partout ailleurs on constate une amélioration notable (…) mais difficilement quantifiable ».
Sous le titre « Etudiants mangez mieux, fumez moins ! » le Parisien s’intéresse à ces deux campagnes pour noter en ce qui concerne le tabac que « plus du tiers des étudiants franciliens fument » et que « 27% ont déjà fait une tentative d’arrêt ». Le journal précise que les consultations médicales mises en place fonctionneront toute l’année dans six universités parisiennes et qu’une première boite de patch sera offerte à ceux qui veulent s’arrêter « l’idée étant qu’avec l’argent économisé avec le premier lot de patchs, ils s’achètent la deuxième boîte », laquelle sera remboursée par la mutuelle Smerep.