- Qui sommes nous ?
-
Droit & Loi
- Traités et Textes Internationaux
- Législation Européenne
- Législation Française
- Information & documentation
- Actions Judiciaires
-
Agir
- Dépôt de plainte
- Questions-réponses
- Conseils pratiques
- Campagnes de Prévention
- TERRASSE
- Centre de ressources

Actualités
-
L’adieu au tabac - 15/01/2007
-
Une année sans tabac pour Adecco - 15/01/2007
-
Les entreprises face au tabac - 15/01/2007
-
La prohibition du tabac diminue les infarctus - 15/01/2007
-
Interdiction de fumer et mode de vie - 15/01/2007
-
Des restaurants disent adieu à la cigarette - 15/01/2007
-
Baromètre santé - 13/01/2007
-
Coup de tabac sur les cigarettiers - 12/01/2007
-
Polonium et tabac - 11/01/2007
-
les collèges parisiens et actions de prévention - 11/01/2007
-
décret : l’état doit être irréprochable - 11/01/2007
-
Le champix - 10/01/2007
-
Le train pour arrêter de fumer - 10/01/2007
-
asthme multiplié pour les jeunes fumeurs - 09/01/2007
0 ...
1560
|
1575
|
1590
|
1605
|
1620
|
1635
|
1650
|
1665
|
1680
... 3525
Arrêter de fumer par téléphone, c´est possible ! 
vendredi 25 octobre 2002, 10h00
Les assistances téléphoniques d’aide au sevrage tabagique qui prolifèrent aux Etats-Unis, seraient vraiment efficaces. C’est en tout cas ce que vient de montrer une expérience pilote menée en Californie.
Le Dr Shu-Hang Zhu et son équipe, de l’Université de Californie à San Diego, se sont intéressés à 3 300 fumeurs qui souhaitaient mettre fin à leur addiction grâce à une quitline. Tous un reçu un kit d’aide au sevrage avant d’être invités à rappeler un service d’assistance téléphonique s’ils en ressentaient le besoin.
Au bout d’un mois, un participant sur trois parmi ceux qui avaient profité des conseils en ligne était toujours abstinents. Parmi ceux qui n’y avaient pas eu recours cette proportion n’a pas excédé 9%… et les résultats ont été encore plus prononcés au terme d’un an d’essai. A ce moment en effet, 10% des sujets qui avaient recouru à l’aide en ligne n’avaient pas repris le tabac contre seulement 4% dans l’autre groupe. Des résultats finalement assez décevants, même dans le meilleur cas de figure… Rien ne vaut l’accompagnement direct d’un professionnel… et une solide motivation.
Sources : NEJM, Vol.347, n°14, 3 octobre 2002
(Destination Santé)