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Altadis et ses salariés
Libération signalent que les salariés d’Altadis de Lille ont réaffirmé leur opposition à la fermeture de l’usine.
D’après le journal, cette fermeture fait partie d’un plan de restructuration qui selon la direction « vise à préserver la compétitivité » d’Altadis « qui serait menacé par le ralentissement des ventes de tabacs bruns et par une pression concurrentielle accrue. »
Pour Frédérique Bartlett, secrétaire générale de la fédération CGT des personnels des tabacs et allumettes : « La direction du groupe n’a pas de stratégie industrielle ». Elle indique que « le résultat net du groupe a atteint 353 millions d’euros en 2003 et que le bénéfice net par action a augmenté de 10,9% » mais que seulement 3% du chiffre d’affaires est consacré à la recherche développement.
La syndicaliste rappelle que « La cigarette n’est pas un produit anodin. Sa nocivité est connue. Investir en recherche et développement, outre assurer la pérennité de l’entreprise et des emplois, permettrait sans doute de développer des produits moins dangereux que ceux actuellement commercialisés.