
Actualités
-
Le cancer, première cause de décès en France - 17/08/2016
-
AVC, arrêter de fumer pour diminuer les risques - 16/08/2016
-
Smoking kids, les photographies dérangeantes .... - 14/08/2016
-
Grossesse, l’arrêt du tabac coûte que coûte... - 13/08/2016
-
Le tabagisme, révélateur des conditions de travail - 12/08/2016
-
Ecigarette : découverte de deux agents cancérogènes - 03/08/2016
-
La Chicha, pas vraiment anodin - 08/06/2016
-
L’industrie ne veut pas des paquets neutres ... - 05/06/2016
-
EURO 2016 : Pas de tabac, ni de e-cigarette - 03/06/2016
-
Grossesse et trouble du comportement TDHA - 02/06/2016
-
Fumer n’est jamais sans risque - 30/05/2016
0 ...
345
|
360
|
375
|
390
|
405
|
420
|
435
|
450
|
465
... 3525
Altadis : Philip Morris et Japan Tobacco sur les rangs ? 
Depuis l’échec de la tentative de reprise de Reemtsma (racheté par le britannique Imperial Tobacco sur la base de 5,8Mds d’euros), le franco-espagnol Altadis est passé d’un statut de prédateur à celui de proie. Compte tenu de sa valorisation en bourse, 7Mds d’euros, seuls les plus grands groupes mondiaux du tabac sont susceptibles de se lancer dans une OPA d’une si grande envergure. Le nom de British American Tobacco a longtemps été mentionné comme « bidder » possible. Ce sont à présent ceux de Philip Morris et Japan Tobacco qui circulent, alimentant les spéculations en tout genre.
Réagissant à ce qu’il qualifie de « rumeurs », le co-président d’Altadis a indiqué dans une interview accordée au Figaro que "quand on est en passe d’acquérir une entreprise comme Reemtsma et que l’on ne l’obtient pas, le marché peut être tenté d’estimer que l’on peut soi même être racheté. A nos yeux, ce ne sont que des rumeurs« . Ces dernières ont selon lui un »effet mobilisateur« sur son groupe dans la mesure où le statut de proie potentielle »évite de s’endormir car il faut toujours être au meilleur niveau de performance et améliorer sa rentabilité pour que le cours de l’action augmente".
Altadis veut toujours accroître ses positions au niveau mondial par le biais d’acquisitions mais également en participant aux privatisations qui seront lancées en Italie, Maroc, Corée du Sud et en Turquie.