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« Tout est bon pour arreter de fumer » - 17/02/2004
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« Expertise collective de l’Inserm » - 17/02/2004
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« Les mystères de la dépendance » - 16/02/2004
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1,8 million d’ex-fumeurs - 16/02/2004
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Les brèves du jour... - 16/02/2004
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Le Zyban l’emporte haut la main - 16/02/2004
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Altadis et ses salariés - 13/02/2004
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Ce qui rend accro - 13/02/2004
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Un test urinaire pour évaluer le tabagisme passif - 12/02/2004
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Le Parlement ne respecte pas la loi anti-tabac - 12/02/2004
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Expertise collective de l’Inserm - 12/02/2004
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Interdiction du tabac dans les lieux collectifs - 10/02/2004
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Recensement des livres sur le tabac - 10/02/2004
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Cancérologues et lutte contre le tabagisme en Europe - 10/02/2004
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Acupuncture : efficacité durable dans le sevrage tabagique
En 1998, la conférence de consensus de Paris, concluait sur des données contradictoires concernant l’efficacité de l’acupuncture dans le sevrage tabagique. Suite à de nouvelles analyses, l’acupuncture apparaît aujourd’hui supérieure à l’absence d’intervention, en multipliant par 3 les chances de succès.
Cette conférence de consensus sur l’arrêt de la consommation du tabac concluait à propos de l’acupuncture, de l’homéopathie, de la mésothérapie et de l’hypnose de la façon suivante : « L’acupuncture et l’homéopathie ont été évaluées mais la faible qualité méthodologique de nombreux essais et les résultats contradictoires ne permettent pas d’en tirer des conclusions fiables. Pour ces quatre méthodes, il est particulièrement difficile de dissocier le rôle de l’empathie délivrée au patient de l’effet spécifique propre à chaque méthode ».
Aujourd’hui, de nouvelles études présentent l’acupuncture sous un autre jour. Par rapport à une absence d’intervention, l’acupuncture semblerait plus efficace après 6 semaines de suivi, mais également à 6 et 12 mois. Cette aide multiplierait les chances d’arrêt par 3 (1099 patients inclus). L’acupuncture apparaît également supérieure à la fausse acupuncture jusqu’à 6 mois de suivi. La différence demeure non significative à 12 mois, les auteurs considérant que trop peu d’essais évaluent l’acupuncture à long terme avec un nombre de séances suffisant.
Les auteurs expliquent les données contradictoires par la grande hétérogénéité des essais sur le sujet ; les protocoles d’acupuncture évalués sont très variables quant au nombre de séances, au nombre de points et à la durée du traitement. C’est pourquoi ils souhaitent rapidement publier un nouveau travail explorant les critères d’efficacité d’un protocole optimal en acupuncture. Il est possible que ceci apporte de nouveaux arguments permettant d’inclure, sans arrière-pensée, l’acupuncture parmi les traitements efficaces dans le sevrage tabagique.
Plus d’informations sur : www.e-sante.fr